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Compte-rendu de la réunion-bilan de la saison 2017/18

Cette réunion impromptue avait pour objectif de permettre à chaque fanfarien d’exprimer ses idées, opinions, critiques concernant l’année écoulée.

C’était la première fois que nous faisions autant de concerts et que les fanfariens étaient sollicités durant tout l’été. Que pensons-nous de cette nouvelle expérience ?

On a parlé :

• Des concerts

Tout le monde est d’accord pour faire environ 12 concerts par an pour maintenir les comptes de la fanfare à flot. Cela évite d’augmenter les cotisations. Pas de lassitude exprimée de la part des fanfariens.

Tous les concerts gratuits doivent se faire avec au moins un prof présent. Les organisateurs doivent donc nous payer au moins 50€/concert gratuit. Cela permet un certain confort musical pour tous les fanfariens. Et on prend ainsi davantage de plaisir à jouer. No stress !

Le concert gratuit prévu pour le FDA doit donc être renégocié avec la présence d’un prof. Ce concert avalise un partenariat FDA/CVJ : prêt d’une salle ou autre service.

Les profs présents pendant les concerts pour les écoles (kermesse et carnaval) sont payés par CVJ.

Pour le camping, il faudra demander au maire.

• Des morceaux pour déambuler

On nous demande de plus en plus de déambuler.

On a donc décidé de rajouter des morceaux, autres que « Blue drag » : « Strip tease » en entier et « Bucovina » de Shantel. Jean ou William les arrangeront pour nous. « Strip tease » pourra aussi être considéré comme un morceau à part entière de la fanfare.

• Des nouveaux morceaux

L’important est de se faire plaisir : « Si on se fait plaisir à jouer, les gens en auront à nous écouter ».

On envoie la liste des morceaux choisis par les fanfariens aux profs. On leur laisse la possibilité de nous proposer des morceaux qu’ils connaissent et qui seraient bien pour la fanfare. Les profs nous envoient un premier choix, puis, on fait un doodle pour finir. 

En attendant, les profs nous arrangent la suite de « Strip tease », « Bucovina » et « La Partida » pour la rendre jouable (enfin).

• Des écoles

On décide d’attendre que les enseignants nous contactent pour organiser le prochain carnaval et la kermesse 2019.

• Des parties chantées

On a besoin de perfectionner le chant. Les morceaux chantés ont beaucoup de succès, mais on pourrait faire beaucoup mieux…

On pourrait alors prendre quelques cours avec Hélène Tallon. Ou avec quelqu’un d’autre ? Pendant un master class ?

• Du master class

Tout le monde reconnaît l’efficacité du master class (« le train de 7H40 » appris en 2 jours). En outre, cela soude la fanfare.

On va proposer à Mirielle et son compagnon (copains de Yves) de nous préparer un master class pour décembre ou janvier. Mirielle peut nous apprendre le chant pour tous nos morceaux, en plus d’en étudier un nouveau.  Il faut voir ses prix.

Le tarif du master class sera plus élevé que l’année dernière (23 à 25€ le week-end).

On propose de le faire en décembre ou janvier (un doodle va être lancé bientôt).

• De l’intégration des nouveaux-venus

On espère 3 ou 4 nouveaux guitaristes.

Un percu (copain de JD) viendra mardi nous entendre et décider s’il veut rester.

Peut-être une nouvelle accordéoniste débutante (copine de Céline). Voir si Jean peut lui donner des cours.

Philippe propose d’organiser une formation GPX à la rentrée pour les nouveaux et ceux qui en ressentent le besoin.

Important : bien expliquer le fonctionnement et l’esprit de la fanfare aux nouveaux.

Instaurer un système de tutorat ?

Le plus important : aider les nouveaux à s’intégrer dans notre groupe déjà constitué. Etre vigilant : faire en sorte que chacun puisse trouver sa place (musicale et humaine) parmi nous. Pas facile pour tout le monde de rentrer dans un groupe.

• De la couleur musicale de la fanfare

JD : de la musique attractive, des morceaux connus pour capter l’attention du public.

Céline : l’identité klezmer est importante

Claude : mettre 2/3 klezmer et 1/3 autres. C’est bien d’avoir des morceaux à danser et d’autres à écouter. Sommes-nous une fanfare qu’on écoute ou qui fait danser ?

Philippe : l’important est de se faire plaisir en jouant. Mais si on fait du latino, quid des percus ?

Yves : si on a davantage de guitare, on fait du klezmer.

Eva : on continue 50/50 klezmer et autres. Bon mélange.

Rémy : on fait confiance aux profs, ils nous proposent des morceaux sympas et pêchus (comme Battare).

Yohan : jouons des morceaux connus, qu’attendent les gens.

Mickaël : je fais confiance aux profs qui choisissent des bons morceaux.

• La mise en scène

Rémy et Philippe : éviter les partitions, donc apprendre les morceaux par cœur. Mais petit à petit.

Pierre : il est très important de bien se placer pour bien s’entendre. On joue beaucoup mieux quand on s’entend jouer. Se mettre en demi-lune, pas en rang.

Philippe : j’ai une caisse de fringue de Emmaüs. On peut s’habiller avec.

Yohan : avant la mise en scène, il faut d’abord bien régler la musique.

Roseline : d’abord éviter les partitions.

Céline : d’accord avec Pierre, il faut bien se placer sur scène, c’est important.

Tout le monde : pas de théâtralisation excessive. Personne n’est obligé. Chacun fait comme il le veut. La mise en scène est plutôt un état d’esprit : se détacher des partitions, regarder le public, lui montrer qu’on joue pour lui et qu’on y prend du plaisir, bouger un peu, mettre de l’humour dans notre présence, etc.

Philippe et Rémy sont nommés responsables de cette aspect de la fanfare. Ils recueilleront toutes nos idées et nous proposeront... ?  Surprise !

• Dernier détail

Tous les fanfariens présents ont donné leur autorisation pour diffuser entre nous, les coordonnées de chacun (pour le covoiturage, l’organisation, etc.).

 J'espère avoir retransmis assez fidèlement les paroles de chacun.

J'en ai envoyé une copie à nos deux profs avec nos choix des morceaux en leur demandant de tenir compte des souhaits exprimés dans le chapître "De la couleur musicale de la fanfare".